Transitions socio-écologiques et énergétiques
Ce GDR traite la problématique de l’autonomie énergétique des territoires en terme de transition énergétique en lien avec le changement climatique, et les émissions de CO2. Nous élaborons des approches multi-disciplinaires regroupant l’observation de la Terre et la modélisation vers de l’aide à la décision.
Le groupe ETRES fédère les activités de l’UMR dans le domaine de la gestion durable des ressources naturelles (Eau-Terre) et viabilité des éco-socio-systèmes (biodiversité et services écosystémiques y compris socio-culturels) dans le contexte du changement climatique.
Le groupe Coviabilité socio-écologique a pour objectif d’intégrer les contributions des différents gdrs qui traitent différentes facettes de ce paradigme vers une formalisation et impact sociétal de cette science. Ce thème est central à l’unité et donc se retrouve décliné dans les différents enjeux thématiques et méthodologiques.
Santé, bien-être des sociétés en préservant les ressources et écosystèmes
Le groupe de recherche Eau-Terre-Ressources-Ecosystèmes-Sociétés vise à fédérer les activités de l’unité dans le domaine de la gestion durable des ressources naturelles renouvelables (Eau-Terre) et des écosystèmes pour prépare les transitions socio-écologiques.
Il a pour objectif est de partager et mutualiser les savoirs faires (outils, méthodes, base de données, enquêtes, entretiens…) et disciplines (climat, hydrologie, océanographie, sociologie, géographie…) autour des liens entre développement et climat avec un ancrage territorial fort et la mise en œuvre de sites pilote.
Vulnérabilité, adaptation et viabilité des territoires incluant les systèmes insulaires et côtiers
Le groupe de recherche vise à intégrer et partager les recherches qui sont poursuivies relativement aux systèmes terrestres îles, et littoraux, des tutelles du Pacifique et océan Indien, dans une démarche de science impliquée, et développer des projets et recherches inclusives et croisées.
Le groupe de recherche apporte la vision d’un système territorial qui postule l’existence, à des échelles relativement locales, de complexes organisés cohérents, partiellement autonomes, qui reposent sur les interactions entre des éléments de nature variée, complexes qui qualifient en retour les espaces concernés en tant que territoires.